mercredi 19 février 2014

L'association Stephane Lamart


Stephane Lamart est un amoureux inconditionnel des animaux. En effet, il a passé plus de vingt ans de sa vie, depuis ses dix ans à peine, à promouvoir le droit et la défense des animaux. C’est en s’offusquant de la mise à mort d’un rat dans un petit village de Picardie que tout a commencé. Le jeune garçon s’est alors juré d’aider du mieux qu’il peut à protéger les animaux.

Aujourd’hui, Stephane Lamart est à la tête de l’association éponyme qu’il a fondée en 2000. Au sein de cette association, il met en pratique son expérience acquise au fil de ses allées et venues au sein des structures de défense des droits des animaux qu’il a pu croisées depuis cet instant fatidique de l’exécution haineuse d’un rat. Ainsi, au fil des ans, il découvre que pour une action efficace et pérenne, il faut se rapprocher des pouvoirs publics et des médias. C’est pourquoi il s’est établi à Paris et qu’il a, durant un certain temps, exercé le métier de policier.

Complètement dévoué à la cause animale, Stephane Lamart prend des positions plus ou moins extrêmes pour leur défense. Il défend par exemple farouchement l’endormissement des animaux avant leur abattage. Sont concernés tous les animaux destinés à l’abattoir comme les cochons, les vaches, les poulets ou les canards. D’ailleurs, dans cet élan d’amour absolu pour les animaux, l’association Stephane Lamart encourage tout un chacun au végétarisme à travers un texte publié sur son site web.

Le végétarisme est pour l’association Stephane Lamart l’expression la plus pure de l’amour et de l’affection envers les animaux. En effet, le fait de consommer de la viande signifie encourager le massacre des animaux. D’abord, le fait d’avoir une alimentation carnée implique l’accord implicite pour l’élevage industriel d’animaux dits d’abattage (les poules, les moutons, les bœufs, les cochons…). Ce type d’élevage consiste à engraisser les bêtes le plus vite possible avec des aliments et des méthodes plutôt désagréables afin de générer un maximum de profits. Ensuite, la consommation de viande suppose l’adhésion au mode de transport des animaux de leur lieu d’élevage jusqu’à l’abattoir qui consiste à les parquer inconfortablement dans des camions sans grande protection contre le soleil, la pluie ni le vent. Par ailleurs, cette pratique implique également un accord donné pour diverses méthodes de tortures animales : les animaux sont forcés à s’engraisser, à entrer dans les camions, à en ressortir, à entrer sur les lignes d’abattage et à mourir dans d’atroces souffrances. De plus, Stephane Lamart et ses acolytes précisent que la consommation de viande n’apporte pas de véritable avantage sur la santé ni ailleurs, et qu’une alimentation carnée coûte largement plus cher d’un point de vue environnemental qu’une alimentation végétarienne (besoins en eau par exemple).
Mais Stephane Lamart et son association ne font pas que militer pour le végétarisme ou l’endormissement avant abattage, ils sont présents sur tous les fronts de la défense des animaux. Entre autres, ils militent pour l’arrêt de l’utilisation de la fourrure, contre la maltraitance des animaux domestiques, contre les animaux de spectacle et tant d’autres domaines. En collaboration avec plusieurs associations de défense des animaux, Stephane Lamart et son association assignent en justice les fauteurs de troubles envers les animaux.

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